jeudi 21 janvier 2016

QUAND FAUT-IL FAIRE ÉVALUER SON ENFANT TDA(H) EN ÉDUCATION SPÉCIALISÉE EN MÉTACOGNITION ?

LE SECRET : AGIR RAPIDEMENT

Quand procéder 

Dans la mesure du possible, le parent doit agir rapidement sur le redressement des apprentissages du français de son enfant TDA(H), soit au primaire. 

Pourquoi procéder

Il vient un temps où l’apprenant accuse trop de retard sur ses apprentissages, ce qui le décourage, sans parler du « spatio-temporel scolaire » court, soit le nombre dheures denseignement de français par année scolaire, c’est-à-dire 182 heures, qui rend très difficile la réussite du redressement des apprentissages.

De plus, avant de commencer à enseigner la matière à l’apprenant, le tuteur de français spécialisé en métacognition doit avoir en main un rapport de neuropsychologie pour établir un plan de redressement efficient. Ce qui demande du temps et, donc, retarde lexécution du plan de redressement.

En effet, le neuropsychologue doit d’abord poser un diagnostic TDA(H) à partir duquel il rédige un rapport, document dont se sert le tuteur de français spécialisé en métacognition pour exécuter avec efficience son plan de redressement sur les apprentissages de lapprenant. En fait, le tuteur spécialisé, après avoir analysé les données de ses cahiers d’évaluation, étudie le rapport du neuropsychologue où il relève toutes les informations pertinentes sur la mise en application de son plan de redressement.

  À titre dexemple, si un neuropsychologue précise, dans son rapport, que lapprenant « éprouve des difficultés à porter attentions aux stimulations auditives et visuelles importantes tout en faisant abstraction à celles qui ne le sont pas », le tuteur de français spécialisé en métacognition mettrait l’accent sur le « volet Assemblage dune notion © », une carte mentale représentative d’une notion, lors de son enseignement.

En somme, sans le rapport du neuropsychologue, le tuteur de français spécialisé en métacognition marche les pieds liés : bien qu’il sache exactement ce qu’il doit faire pour redresser les apprentissages d’un apprenant sur les notions de la langue française, il na aucune idée de la façon dont il doit s’y prendre pour y arriver. C’est pourquoi le parent doit d’abord faire évaluer son enfant par un neuropsychologue.   

Ce que l’on évalue en éducation spécialisée en métacognition

L’on évalue la capacité de l’apprenant à identifier :
·       la classe et la fonction des groupes de mots ;
·       les constituants de la phrase.

L’on évalue aussi la capacité de l’apprenant à écrire :
         ·  les morphèmes ; 
         ·  les graphèmes ;
         ·  les accents ;
         ·  les mots contenant une gémination ;
         ·  les liaisons d’enchaînement.

L’on donne une dictée ciblée sur des phonèmes précis.

 L’on fait passer également une dictée diagnostique à lapprenant pour évaluer :        ·  l’orthographe ;
     ·  la grammaire ;
     ·  la ponctuation ;
     · les homophones ;
     ·  la syntaxe.

L’on évalue ensuite :
   ·  la capacité de l’apprenant à utiliser la préposition ;
   ·  la capacité de l’apprenant à s’autocorriger ;
   · la capacité de l’apprenant à identifier les trois classes de fonctions.

L’on évalue de plus les compétences de l’apprenant en écriture et sur ses capacités d’analyser le contenu d’un texte.

L’on évalue enfin le savoir-lire :
   ·  Compréhension de texte (inférence)
   · Niveau d’expérience en lecture
   · Technique de lecture

La proactivité, cest le secret !




LA MÉCANIQUE DE L’ESTIME DE SOI : UN MÉCANISME COMPARABLE AU PRINCIPE DE L’ENTONNOIR





LENFANT tda(h), SES APPRENTISSAGES DE LA LANGUE FRANÇAISE 
ET LA Protection de SON estime de LUI


 Lenfant TDA(H) craint l’échec et met en place des mécanismes dont le but est de préserver son estime de luiC’est le principe de l’entonnoir : plus il se questionne, plus il cherche à éviter de le faire. 

Exemple :            

1. Lenfant TDA(H) ne met jamais d’effort pour atteindre son objectif.

2. Il justifie son manque de performance au manque d’effort plutôt qu’à un manque d’aptitude.

3. Il évite ainsi une remise en question plus profonde 1, voire fondamentale, qui pourrait porter atteinte à son estime de lui.

         1 : Explication que je me donne, la justification, en somme. L’apprenant se compte des histoires.

4. Pourquoi le fait-il ? Pourquoi tente-t-il d’éviter cette remise en question ?

5. Il le fait parce que réaliser un travail dans les délais requis, c’est montrer ce dont il est capable. Et c’est aussi répondre à la question fondamentale sur ses capacités réelles.

6. En n’étudiant qu’à moitié, en niaisant en classe, en se trouvant tout plein d’excuses, le jeune ne mesure jamais pleinement ses capacités. Parce que, s’il le faisait, s’il tentait de mesurer ses capacités, il serait confronté à se questionner : si je fournis les efforts, que je donne le maximum de moi-même, que va-t-il se passer ? Quel résultat obtiendrai-je ?

7. C’est une façon d’éviter de se confronter à ses limites. C’est une façon d’éviter d’avoir la réponse à la question fondamentale : si j’obtiens de mauvais résultats, cela voudrait dire que je ne suis pas intelligent.

 

LE CONSENSUS D’UN PARENT ET DU PROFESSIONNEL SUR LES CAPACITÉS D’APPRENTISSAGE D’UN APPRENANT TDA(H)

Lorsqu’un parent emploie un professionnel sur le redressement des apprentissages de son enfant, il doit s’établir entre eux un consensus sur la définition même du trouble déficitaire de l’attention (TDA).  

Définissons donc le terme consensus.

Définitions du terme consensus

LAROUSSE

          Accord et consentement du plus grand nombre, de l’opinion publique. Un consensus                   social.


LE PETIT ROBERT 

N. M. – 1824 ; consens XVIe®mot latin « accord »  ¡ 1. DIDACT. Accord entre personnes ; consentement. ¡ 3. SPÉCIALT. Accord d’une forte majorité de l’opinion publique. Consensus social.


LES TEMPS ANTIQUES, NOTAMMENT LE MOYEN ÂGE

Définition : V Qui s’objectait aux croyances établies, à cette époque, était brûlé sur le bûcher. À ce sujet, l’on brûlait vives les personnes qui osaient s’objecter au consensus suivant : la Terre est plate.


LA CONCEPTION SCIENTIFIQUE 

C’est un processus qui vise à transformer toute croyance en savoir. Donc, toute connaissance est admise comme « vraie » jusqu’à preuve du contraire […]. En somme, le savoir scientifique est largement CONSENSUEL, soit qu’il repose sur un CONSENSUS, impliquant une hypothèse sur la falsifiabilité des énoncés. […] L’une des tâches du scientifique est justement de traquer les erreurs de ses prédécesseurs afin de faire avancer la science.

La psychiatrie au fil des siècles : l’évolution du traitement des maladies mentales en                          psychiatrie.


ANTIQUITÉ (3 500 avant J.- C.) :          
Les questions psychiatriques ne sont pas traitées.

 - Raisons religieuse
 - Le corps est un tout (aucune distinction entre le corps et le soma)

MOYEN ÂGE      
L’église brûlait les hérétiques et les sorciers, mais aussi les malades mentaux

 - 8 500 fous sont brûlés vifs sur le bûcher.

      RENAISSANCE (du XVau XVIsiècle) :   
       Les médecins s’insurgent contre la pratique du bûcher 1 pour les fous.

       - La folie passe du surnaturel au rang de maladie.

FIN XVIIIe SIÈCLE (XVIIIe siècle)  :
La psychiatrie naît. L’on crée les asiles.        

 - Les psychiatres entreprennent de classifier les maladies mentales selon les signes 
    cliniques.

 - Les méthodes comme la saignée, l’utilisation de purgatifs, les sédatifs[] côtoient 
   des méthodes barbares, comme faire frôler la mort au malade pour provoquer un état
   de choc. Le choix du personnel commence à évoluer.

            XXe SIÈCLE           
            En 1935, l’on formalise la lobotomie.

            - L’on lobotomise 100 000 patients aux États-Unis. Une pratique auquel on combine un                       traitement d’électrochocs.
            - L’on traite alors les maladies mentales telles que la schizophrénie, l’épilepsie et                                 même les maux de têtes chroniques par la lobotomie et les électrochocs. 


            XXIe SIÈCLE
              La psychiatrie est en pleine évolution

              - Cela entraîne une série de réforme (plan de santé mentale 2005/2008)


MA THÈSE 

           Un consensus, c’est la vérité du moment, soit de l’époque. Et chaque vérité du 
moment nous donne notre réalité. Le film Les Dieux sont tombés sur la tête.

MAINTENANT, POSEZ-VOUS LA QUESTION SUIVANTE : VOTRE CONSENSUS 
SUR LE TDA(H), QUEL EST-IL ?

Comment percevez-vous le trouble déficitaire de l’attention (TDA) ? Autrement dit,  
quel est votre point de vue sur la condition de votre enfant ? Voyez les exemples 
suivants :

·         Mon enfant apprend différemment.
·         Il a un trouble mental.
·         Il a une maladie mentale.
·         Il a un cerveau très créatif.
·         Il lui faut seulement un encadrement différent.

À PRÉSENT, POSEZ-VOUS CETTE QUESTION : LE CONSENSUS DU PROFES-
SIONNEL QUI REDRESSE LA CAPACITÉ DAPPRENTISSAGE DE MON ENFANT, 
QUEL EST-IL? 

 Votre consensus sur le redressement des apprentissages de votre enfant doit être  
  aligné avec celui du professionnel. Autrement, personne y gagne. 

Manon Éléonor Rossignol,
Tutrice de français spécialisée en métacognition pour l’apprenant TDA(H)


LA MÉTACOGNITION, UNE NOTION VIEILLE COMME LE MONDE


 Dans son traité de lâme, Aristote parle de la métacognition. Dit autrement, la métacognition est une notion vieille comme le monde. 
  
 Dans les rapports de neuropsychologue, l’on peut lire des conseils tels que routine métacognitive ou enseignement des notions de français par la métacognition

 En somme, la métacognition est un élément-clé dans le redressement des apprentissages de la langue française. Aussi, comme on me le demande souvent, j’ai pensé vous brosser un portrait global sur ce terme.


LA MÉTACOGNITION, UN RETOUR DANS LE TEMPS :
L’AN 335-322 (Aristote)
PETIT ROBERT 

MÉT(A) – :

¡ 1. Élément du grec meta, exprimant la succession, le changement, la participation et en philosophie et dans les sciences, ce qui dépasse, englobe.

COGNITION :
N. F. – XIVe ®latin cognitio ¡ 2. PHYSIOL. Processus par lequel un organisme acquiert la conscience des événements des objets de son environnement.

COGNITIF :
Adj. – XIVe ® latin cognitum, de cognoscere « connaissance » Qui concerne la connaissance, les processus mentaux dans son acquisition. Faculté cognitive. Opérations cognitives (abstraire, catégoriser, contextualiser, généraliser…)           

WIKIPÉDIA

En psychologie, la métacognition est la cognition sur la cognition. Le préfixe méta signifiant sur, à propos de, cognition, mot latin signifiant action de connaitre, de cognoscere, signifiant prendre connaissance par les yeux, composé du préfixe co et noscere, signifiant savoir.   

Définition résumée : la métacognition, c’est une activité mentale sur ses propres processus mentaux.

ARISTOTE, TRAITÉ DE L’ÂME

Confucius, enseignant à un de ces disciples : 

« Veux-tu que je t’enseigne le moyen d’arriver à la connaissance ? Ce que l’on sait et savoir qu’on le sait ; ce que l’on ne sait pas et savoir qu'on ne le sait pas : c'est savoir véritablement.1»

Résumé : la métacognition, c’est prendre conscience que l’on ne savait pas que l’on ne savait pas quelque chose.


EN SOMME :

La métacognition, c’est une activité mental qui s’initie à partir du moment où un apprenant cesse d’être en action et se place volontairement dans un processus de réflexion sur ses apprentissages : repasse-toi ton raisonnement dans ta tête. C’est une activité mentale sur ses propre processus mentaux, soit penser sur ses propres pensées.

Sur le plan de la lecture, tout apprenant TDA(H) peine à répondre aux types de questions suivantes, parce qu’il évite de se questionner sur son raisonnement :

·         Explique pourquoi, justifie ta réponse ?

·         Selon toi, pourquoi, à ton avis, pourquoi ?  

Manon Éléonor Rossignol,
Tutrice de français spécialisée en métacognition pour lapprenant TDA(H)
www.tutoratdefrancaismetacognition.com




vendredi 15 janvier 2016

UNE CONFÉRENCE QUI S’ADRESSE AUX PARENTS D’ENFANT TDA(H) SUR LES MÉTHODES D’APPRENTISSAGES EFFICIENTES EN FRANÇAIS, PAR LA MÉTACOGNITION, POUR L’APPRENANT TDA(H) AU PRIMAIRE OU AU SECONDAIRE



1er  Volet : l’aspect psychologique de l’enfant TDA(H) sur ses apprentissages du français


1.    Présentation de la conférencière.


2.    L’affectivité de l’apprenant TDA(H) et ses apprentissages en français.


3.    L’apprenant TDA(H) et le point de rupture sur ses apprentissages scolaires.


4.    Le mécanisme de la motivation et l’estime de soi de l’apprenant TDA(H).


5.    L’influence qu’a le caractère de l’apprenant TDA(H), c’est-à-dire son côté optimiste ou  pessimiste, sur son niveau d’opposition sur ses apprentissages.

6.    Le conditionnement et le reconditionnement de l’apprenant TDA(H).


2Volet : les apprentissages du français par la métacognition 


1.    Le consensus établi dans la société québécoise sur les capacités d’apprentissage d’un apprenant TDA(H) sur la langue française.

2.    La métacognition, une notion vieille comme le monde : sa définition, son origine.

3.    Comment enseigner une notion de français à l’apprenant TDA(H) par la métacognition : les composantes d’une notion et leur assemblage.

4.    Le GPS de l’apprenant TDA(H) : la mnémotechnie, la métacognition par le jeu, les stratégies.

5.    Le matériel pédagogique spécialisé en métacognition.

6.    Le parent-tuteur et ses outils d’enseignement spécialisés en métacognition.


3e  Volet : réaliser des études supérieures pour un apprenant TDA(H), est-ce possible ? 



       1. Une thèse : quand et comment doit-on outiller un enfant TDA(H) pour qu’il veuille plus tard entreprendre et réussir des études supérieures ?

       2.  Voir le TDA(H) et l’acquisition de ses apprentissages sous l’angle de la langue française.

       3.  Une balance à trois plateaux. L’art de maintenir un équilibre entre :
                      · la médication (un psychostimulant) ;

 · la psychologie de l’apprenant TDA(H), liée aux apprentissages du français (le conditionnement et le reconditionnement du TDA(H) sur ses apprentissages du français) ;
  ·  le système d’émulation, sa compréhension et la manière dont il faut s’y prendre pour le maintenir en place (le tuteur de français spécialisé en métacognition, le parent- tuteur et sa participation au quotidien).


4e  Volet : conclusion de la conférence 



1.  Le tuteur de français spécialisé en métacognition en pratique privée.

2. Faire évaluer son enfant TDA(H) sur ses compétences en français, par le tuteur de français spécialisé en métacognition.

3. Quand faut-il entreprendre une démarche pour faire suivre son enfant TDA(H) en enseignement par métacognition. 

4.  Période de questions des parents présents lors de la conférence.



L’auteure d’Isory Poutch, Manon Éléonor Rossignol

 

        Manon Éléonor Rossignol est née à Chute-aux-Outardes dans un village situé sur la Côte-Nord, en 1965. Elle a suivi des études collégiales en sciences de la santé à Bois-de-Boulogne et des études en rédaction à l’université de Montréal. Elle est romancière, rédactrice-réviseure, éditrice et tutrice de français spécialisée en métacognition pour l’apprenant en trouble déficitaire de l’attention TDA(H).

         Manon Éléonor Rossignol se consacre à l’écriture et à l’enseignement spécialisé depuis près de vingt ans. De 2009 à 2011, elle a travaillé au Collège Gérald-Godin, au Centre d’aide en français (CAF), une expérience qui lui a donné une vue d’ensemble sur les compétences que tout apprenant TDA(H) doit acquérir durant ses études primaires et secondaires pour pouvoir réussir les trois cours de littérature imposés au cégep. Cette expérience lui a aussi permis de préciser sa vision sur le matériel pédagogique destiné aux apprenants TDA(H) qu’elle s’est appliquée à rédiger au cours des dix dernières années.

      Durant la période scolaire, Manon Éléonor enseigne le français en pratique privée aux apprenants TDA(H),en tutorat spécialisé en métacognition. L’été, elle écrit ses romans.

          C’est en 2002 que l’idée d’Isory Poutch a commencé à germer dans son esprit. Pendant neuf mois, elle s’est consacrée à l’écriture de son livre. En mai 2003, elle mettait au monde le premier tome d’Isory Poutch À la découverte de ses slamichs ; en décembre 2004, le deuxième tome Le sortilège de Cacouna. Ses deux premiers romans se sont vendus à plus de 15 000 copies. Ce n’est pourtant que 11 ans plus tard qu’elle a commencé à écrire le tome III. Entre-temps, Manon Éléonor a dû combattre un cancer du sein.

C’est en 2002 que l’idée d’Isory Poutch a commencé à germer dans son esprit. Pendant neuf mois, elle s’est consacrée à l’écriture de son livre. En mai 2003, elle mettait au monde le premier tome d’Isory Poutch À la découverte de ses slamichs ; en décembre 2004, le deuxième tome Le sortilège de Cacouna. Ses deux premiers romans se sont vendus à plus de 15 000 copies. Ce n’est pourtant que 11 ans plus tard qu’elle a commencé à écrire le tome III. Entre-temps, Manon Éléonor a dû combattre un cancer du sein.


Ne pas se laisser mener par les événements, mais agir sur eux.
Faire face aux problèmes et trouver des solutions.

         Voilà deux phrases qui ont permis à Manon Éléonor de trouver le courage de poursuivre sa route. Arborant un look « monsieur net », elle a repris le collier de l’enseignement 12 jours après son dernier traitement de chimiothérapie. Se doutant qu’il y aurait plusieurs obstacles à franchir et de nombreuses épreuves à traverser, Manon Éléonor s’est disciplinée, tant dans ses habitudes de vie que dans ses pensées : « Isory Poutch va devoir se montrer tenace et flexible avant de revenir au monde ! » s’est-elle dit pendant son rétablissement. En novembre 2015, Manon Éléonor nous offre le tome III, partie I, d’Isory Poutch, La contre-attaque de l’escadron Sirien.

          Pour réserver une date de conférence ou pour avoir de l'information sur les tarifs :
          . www.tutoratdefrançaismetacognition.com
          . manoneleonor@videotron.ca