LE SECRET : AGIR RAPIDEMENT
Quand procéder
Dans la mesure du possible, le parent doit agir
rapidement sur le redressement des apprentissages du français de son enfant
TDA(H), soit au primaire.
Pourquoi procéder
Il
vient un temps où l’apprenant accuse trop de retard sur ses apprentissages, ce qui le décourage, sans
parler du « spatio-temporel scolaire » court, soit le nombre d’heures d’enseignement de français par année scolaire, c’est-à-dire 182 heures, qui rend très difficile la réussite du redressement des apprentissages.
De plus, avant de commencer à enseigner la matière à l’apprenant, le tuteur de français spécialisé en métacognition doit avoir en main un rapport de neuropsychologie pour établir un plan de redressement efficient. Ce qui demande du temps et, donc, retarde l’exécution du plan de redressement.
En effet, le neuropsychologue doit d’abord poser un diagnostic TDA(H) à partir duquel il rédige un rapport, document dont se sert le tuteur de français spécialisé en métacognition pour exécuter avec efficience son plan de redressement sur les apprentissages de l’apprenant. En fait, le tuteur spécialisé, après avoir analysé les données de ses cahiers d’évaluation, étudie le rapport du neuropsychologue où il relève toutes les informations pertinentes sur la mise en application de son plan de redressement.
À titre d’exemple, si un neuropsychologue précise, dans son rapport, que l’apprenant « éprouve des difficultés à porter attentions aux stimulations auditives et visuelles importantes tout en faisant abstraction à celles qui ne le sont pas », le tuteur de français spécialisé en métacognition mettrait l’accent sur le « volet Assemblage d’une notion © », une carte mentale représentative d’une notion, lors de son enseignement.
En somme, sans le rapport du neuropsychologue, le tuteur de français spécialisé en métacognition marche les pieds liés : bien qu’il sache exactement ce qu’il doit faire pour redresser les apprentissages d’un apprenant sur les notions de la langue française, il n’a aucune idée de la façon dont il doit s’y prendre pour y arriver. C’est pourquoi le parent doit d’abord faire évaluer son enfant par un neuropsychologue.
De plus, avant de commencer à enseigner la matière à l’apprenant, le tuteur de français spécialisé en métacognition doit avoir en main un rapport de neuropsychologie pour établir un plan de redressement efficient. Ce qui demande du temps et, donc, retarde l’exécution du plan de redressement.
En effet, le neuropsychologue doit d’abord poser un diagnostic TDA(H) à partir duquel il rédige un rapport, document dont se sert le tuteur de français spécialisé en métacognition pour exécuter avec efficience son plan de redressement sur les apprentissages de l’apprenant. En fait, le tuteur spécialisé, après avoir analysé les données de ses cahiers d’évaluation, étudie le rapport du neuropsychologue où il relève toutes les informations pertinentes sur la mise en application de son plan de redressement.
À titre d’exemple, si un neuropsychologue précise, dans son rapport, que l’apprenant « éprouve des difficultés à porter attentions aux stimulations auditives et visuelles importantes tout en faisant abstraction à celles qui ne le sont pas », le tuteur de français spécialisé en métacognition mettrait l’accent sur le « volet Assemblage d’une notion © », une carte mentale représentative d’une notion, lors de son enseignement.
En somme, sans le rapport du neuropsychologue, le tuteur de français spécialisé en métacognition marche les pieds liés : bien qu’il sache exactement ce qu’il doit faire pour redresser les apprentissages d’un apprenant sur les notions de la langue française, il n’a aucune idée de la façon dont il doit s’y prendre pour y arriver. C’est pourquoi le parent doit d’abord faire évaluer son enfant par un neuropsychologue.
Ce que l’on évalue en éducation spécialisée en métacognition
L’on évalue la
capacité de l’apprenant à identifier :
· la classe et la fonction
des groupes de mots ;
· les constituants de la
phrase.
L’on évalue
aussi la capacité de l’apprenant à écrire :
· les morphèmes ;
· les graphèmes ;
· les accents ;
· les mots contenant une gémination ;
· les liaisons d’enchaînement.
L’on donne une
dictée ciblée sur des phonèmes précis.
L’on fait
passer également une dictée diagnostique à l’apprenant pour évaluer : · l’orthographe ;
· la grammaire ;
· la ponctuation ;
· les homophones ;
· la syntaxe.
· la grammaire ;
· la ponctuation ;
· les homophones ;
· la syntaxe.
L’on évalue
ensuite :
· la capacité de l’apprenant à utiliser la préposition ;
· la capacité de l’apprenant à s’autocorriger ;
· la capacité de l’apprenant à identifier les trois classes de fonctions.
· la capacité de l’apprenant à utiliser la préposition ;
· la capacité de l’apprenant à s’autocorriger ;
· la capacité de l’apprenant à identifier les trois classes de fonctions.
L’on évalue de
plus les compétences de l’apprenant en écriture et sur ses capacités d’analyser
le contenu d’un texte.
L’on évalue
enfin le savoir-lire :
· Compréhension de texte (inférence)
· Niveau d’expérience en lecture
· Technique de lecture
· Compréhension de texte (inférence)
· Niveau d’expérience en lecture
· Technique de lecture
La proactivité, c’est le secret !