vendredi 19 décembre 2014

LA RENTRÉE SCOLAIRE : UN DÉFI DE TAILLE POUR L’APPRENANT TDA(H)



Aucun parent ne sort du bureau d’un neuropsychologue en lui disant « merci de m’avoir annoncé que mon enfant est aux prises avec un trouble déficitaire de l’attention TDA(H) ». Et pour cause : vivre au quotidien avec un enfant TDA(H) est un défi de taille.

Et le défi devient plus grand encore pour le parent lorsque l’enfant fait son entrée scolaire. En effet, à partir du moment où l’enfant TDA(H) met les pieds dans un établissement scolaire, c’est une véritable course contre la montre, son estime de lui étant dès lors mise à l’épreuve au cours de ses premières années académiques.

Le parent doit donc encadrer adéquatement son enfant, tant sur son comportement que sur ses apprentissages, une tâche dont s’acquitte très souvent la mère. Celle-ci doit alors s’entraîner à se positionner dans l’empathie pour être efficiente sur ses interventions lorsque l’enfant perd le contrôle sur ses émotions. Là est son premier grand défi. Son deuxième défi est d’agir rapidement sur son enfant sur le redressement de ses apprentissages en français, notamment en lecture, lorsque celui-ci présente des lacunes importantes sur ses acquis.

En somme, le parent doit agir rapidement dès qu’il voit son enfant en difficultés d’apprentissage, car, dès que celui-ci rentre dans sa préadolescence, il s’oppose pour un tout ou pour un rien, ce qui rend très difficile le redressement de ses apprentissages. 

jeudi 18 décembre 2014

Le matériel pédagogique

Le matériel pédagogique

Le tuteur de français spécialisé en métacognition se sert de matériel pédagogique spécialisé, par le biais de moyens informatiques, afin d’améliorer l’acquisition des connaissances et le transfert des acquis. Son contenu respecte la terminologie qu’utilisent les enseignants de la réforme.

L’histoire en grammaire, la mnémotechnie, les procédés métacognitifs font partie, entre autres, de l’outillage dont se sert le tuteur spécialisé lors des cours. En procédant de cette manière, celui-ci pique la curiosité de l’apprenant, capte son attention, répond à toutes ses questions restées sans réponse, notamment celles qu’il n’a jamais osé poser en classe pour conserver son estime de lui.

Autrement dit, le matériel pédagogique spécialisé en métacognition incite l’apprenant à se placer dans un mode de compréhension, soit un état d’esprit qui l’amène à se poser des questions sur sa façon d’apprendre une notion et qui finit par le rendre efficient dans sa capacité d’acquérir des connaissances. 

Le tuteur de français spécialisé en métacognition



Le tuteur de français spécialisé en métacognition place l’apprenant dans un processus de réflexion sur ses apprentissages, c’est-à-dire sur ce qu’il sait ou non sur sa façon d’apprendre une notion.

De plus, il incite l’apprenant à se placer dans un processus de compréhension, favorisant ainsi l’assimilation d’une notion. En fait, ce que le tuteur spécialisé cherche à faire, c’est d’amener l'apprenant à encoder la matière à l’étude.

En somme, le tuteur spécialisé s’organise pour rendre l’apprenant autonome sur son savoir-apprendre et sur son  « savoir-comprendre » la matière.

Le français démotive les étudiants


Le ministère de l’Éducation s’en lave les mains ; les enseignants tombent comme des mouches ;
les parents prennent la clé des champs. À qui la faute ?

 « Ça vous fait vingt dollars », me lance une voix caverneuse. Là, derrière le comptoir-caisse de la station-service, un jeune homme, le teint blanc comme de l’albâtre, me regarde avec considération. Il attend que je lui paie mon dû. Je l’ignore alors, mais nos destins viennent de se croiser.

Son nom est Yannic, le mien, Nanny Mc Phee. La Nanny Mc Phee des tutrices de français. Un drôle de sobriquet, je l’avoue, mais c’est justement ce pseudonyme qui intrigue Yannic. Aussi, au cours de mes visites éclair à la station, il me raconte son histoire. Il a redoublé son premier cours de littérature, et cela l’a tellement démotivé qu’il a abandonné ses études collégiales.

On pourrait penser que Yannic est un cas isolé, mais Frédéric d’Anjou ne le croit pas. Selon ce professeur de littérature, qui enseigne au cégep Gérald-Godin, des centaines de cégépiens maîtrisent mal, comme Yannic, les règles de grammaire élémentaires. L’automne dernier, ce fut l’hécatombe dans sa classe : « 70 % de mes étudiants ont échoué à leur premier cours de littérature. De plus, le Centre d’aide en français (CAF) ne suffit plus à la demande. »

Au ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS), on rapporte que « 9 502 collégiens se sont inscrits à un cours de rattrapage en français en 2001-2002 ; ce nombre a grimpé à 13 964 étudiants en 2009-2010[I] ».

Solidaire de ses pairs, Yannic lance haut et fort : « La langue française nous donne du fil à retordre et nous démotive. »

“ Douze fautes par phrase, Monsieur ”

Mais comment se fait-il que nos jeunes soient si incompétents, et leur motivation, si « fragile » ? Diane Bourgeois connaît les réponses. Selon elle, le problème ne date pas d’hier. Députée du Parti québécois, madame Bourgeois a été enseignante au début de sa carrière. C’était une en-seignante engagée et qui n’avait pas peur des mots. Je la rencontre à son bureau à Terrebonne.

« Vous savez, la note, c’est très relatif », me lance-t-elle, d’entrée de jeu. « La direction de l’école où j’enseignais a exigé qu’on fasse passer de 57 % à 70 % la moyenne des groupes. » Madame Bourgeois et ses collègues ont d’abord refusé de se conformer à cette directive. Le directeur les a alors placés devant un choix : « Ou bien on se pliait à sa demande ou bien on allait devoir apprendre aux jeunes à écrire correctement. L’enjeu ici est une question de perception : là où les jeunes échouent, il y a des professeurs incompétents. »

Se souciant peu du qu’en dira-t-on, madame Bourgeois et une collègue ont choisi d’apprendre aux jeunes à écrire. Ce que la direction n’a pas apprécié, pas plus que les parents. « Alors qu’un parent me lançait des bêtises à la figure, je cherchais, dans ma pile de copies, la composition écrite de son enfant […]. Le parent a figé net lorsque je la lui ai mise sous les yeux. “ Douze fautes par phrase, Monsieur ”, lui ai-je alors lancé. »

Avant de pester contre l’enseignant, le parent ne devrait-il pas discuter avec son enfant ? C’est justement là le problème. À notre époque, le parent vit à cent milles à l’heure et il n’a pas le temps de discuter avec sa « progéniture ». En fait, il n’a même pas le temps d’être présent. À la Direction de la protection de la jeunesse de Montréal (DPJ), on est au fait de cette réalité : « Des enfants nous disent : “ Je veux bien rentrer à 21 h, mais, quand j’arrive, j’ai un message de mon père qui me dit qu’il reste à coucher chez sa blonde”, déclare Sylvie Piché, intervenante à la DPJ. Les parents sont partout, sauf à la maison[II]. »

La loi est pourtant claire : « La responsabilité d’assumer […] l’éducation de l’enfant et d’en assurer la surveillance […] incombe à ses parents en premier lieu[III]. » Si les parents prennent la clé des champs, une personne responsable doit compenser pour leur absence. Selon madame Bourgeois, c’est l’enseignant qui assume cette charge. En plus d’enseigner sa matière, celui-ci encadre l’enfant, l’encourage et l’épaule, une charge de travail trop lourde, qu’il ne peut tenir bien longtemps, car, très vite, il s’épuise. De fait, les professeurs tombent comme des mouches : « 15 % à 20 % des jeunes enseignants quittent la profession au cours des cinq premières années suivant leur entrée sur le marché du travail[IV]. »

« On a enlevé le sens premier, la raison d’être de l’école, celui d’instruire le jeune pour qu’il puisse bien fonctionner plus tard, affirme madame Bourgeois. C’est aux parents d’éduquer l’enfant », ajoute-t-elle, inquiète pour la profession et pour la relève.

La députée est aussi d’avis que l’enseignant contemporain couvre mal ses arrières : « À notre époque, l’enseignant veut se faire aimer de ses élèves. Et il le fait parce qu’il veut éviter qu’on l’associe à la rigueur. Alors, il met de côté son autorité. » Le jeune s’adapte en conséquence : il devient familier avec l’enseignant, le critique et se dresse contre lui s’il le punit. En fin de compte, le jeune manque d’assiduité dans la réalisation de ses devoirs et est moins attentif au cours. Bref, il ne se sent pas responsable de sa réussite scolaire.

Il faut dire que l’élève d’aujourd’hui est un adepte de la loi du moindre effort. En fait, l’effort n’a pas la cote dans le monde des jeunes. Madame Bourgeois a sa théorie sur le sujet. Elle fait remarquer que les enseignants et les parents encensent les enfants sous prétexte qu’ils ne veulent pas les démoraliser et les empêcher de progresser : « On souligne “le petit peu d’effort” du jeune. Alors, celui-ci croit qu’il doit faire un minimum d’effort pour réussir ses études. Doit-on s’étonner qu’il ne maîtrise pas la matière ? » Doit-on aussi s’étonner que le jeune baisse les bras dès qu’il rencontre des difficultés dans la compréhension d’une notion ? À notre époque, l’on ne doit même pas s’étonner qu’il pense arrêter ses études s’il échoue à son année scolaire.

La députée croit qu’« un enfant qui redouble son année scolaire se prépare à la réalité de la vie ». Mais le parent voit la chose autrement. Il veut éviter à son enfant de la souffrance. Alors, il remue ciel et terre pour lui éviter de redoubler. Le ministère de l’Éducation a cru lui aussi que le redoublement nuirait au développement de l’enfant. Dans les années 2000, il a amendé la réforme de 1980. Dès lors, le redoublement au secondaire a été proscrit, une mesure qui a fait couler beaucoup d’encre. Or, la ministre Michelle Courchesne a mis fin à cette mesure en 2008. Elle a aussi fait le constat de l’échec du renouveau pédagogique : « Oui, admet-elle, les connaissances ont été éparpillées dans un océan de compétences transversales et disciplinaires[V]. »

En mars 2011, Simon Larose conforte les affirmations de la ministre. Professeur à l’Université Laval et directeur de l’évaluation du renouveau à l’enseignement secondaire, monsieur Larose a découvert que les élèves du renouveau pédagogique échouent davantage que leurs prédécesseurs. L’on parle de « 5,5 % de plus[VI] » que les cohortes précédentes.

Une partie truquée

Des milliers d’étudiants paient le prix aujourd’hui de cette réforme. C’est le cas de notre ami Yannic. Juste à l’idée qu’il doit réviser les notions de base, il se sent dépassé. Or, il sait qu’il n’existe aucun moyen d’éviter cette étape, aucun raccourci s’il veut obtenir son diplôme collégial. Alors, comme il a redoublé le premier des trois cours de littérature, la barre lui paraît haute.

Mais le sentiment d’impuissance et de frustration que vit Yannic n’explique pas tout. Le jeune homme vit l’échec comme une fatalité. En fait, il ne parvient pas à en tirer parti, à le voir comme une expérience qui le prépare à la réalité de la vie. Et puis, son estime personnelle est touchée. Alors, il joue une partie truquée d’avance : dans l’éventualité où la langue française le mettrait à nouveau en échec, il déclarerait forfait en décrochant. Ensuite, il jouerait une partie plus facile, le diplôme d’études professionnelles (DEP).

L’on peut facilement appréhender le pire pour Yannic, qui fait partie du groupe de personnes qui risquent de décrocher. Dans le rapport 2004-2005 du MELS, on rapporte que seulement « 63,6 % des garçons obtiennent leur diplôme du secondaire, alors que 77,1 % des filles y parviennent[VII] ».

À ce sujet, madame Bourgeois affirme que le gouvernement travaille en ce moment sur un projet de loi : « Le Conseil du patronat du Québec se demande s’il n’y aurait pas lieu d’exiger du gouvernement qu’il établisse une loi empêchant les entreprises d’embaucher les étudiants de 16 ans et moins. Le recrutement des jeunes encourage la problématique de la main-d’œuvre bon marché. Il contribue, de plus, au phénomène de décrochage scolaire. Il y a aussi les coûts : les jeunes “raccrocheurs” coûtent cher à l’État. »

L’abécédaire de la motivation

Si l’on trouvait des solutions à leur démotivation, moins de jeunes abandonneraient leurs études.

Madame Bourgeois me parle de solutions qu’elle me présente sous la forme d’un abécédaire, avec la rigueur comme toile de fond.

Il y a d’abord la valorisation de la profession d’enseignant, valorisation qui doit s’amorcer auprès de la société. Pour cela, les enseignants doivent être compétents. L’enjeu ici est capital : « Tu ne peux donner ce que tu n’as pas eu », lance madame Bourgeois, en parlant des ensei-gnants contemporains. Et d’ajouter : « Je parle du laxisme de ceux qui devaient les évaluer. »

Et elle n’a pas tout faux. Selon François Lépine, coordonnateur du Centre de développement des compétences langagières de l’Université Laval, « moins du quart des futurs enseignants obtien-nent un résultat supérieur à 75 % [VIII] » au Test de certification en français écrit pour l’enseignement.

Il y a ensuite les parents. L’enfant doit être suffisamment encadré. La base, c’est l’élémentaire : la présence et l’intérêt de la mère et du père sont nécessaires. À ce sujet, madame Bourgeois précise que les parents jouent un rôle déterminant dans la perception que l’enfant a du maître : « Les parents doivent faire valoir l’autorité du maître auprès de son enfant. Ils doivent lui faire comprendre que les notions qu’on lui enseigne à l’école sont les outils dont il aura besoin pour améliorer ses conditions de vie. »

Il y a, de plus, la formation des élèves au niveau secondaire. Pour mieux préparer les jeunes aux études collégiales, les experts du MELS doivent inclure des notions de littérature, très tôt au secondaire. Les courants littéraires et les procédés d’écriture doivent donc être au programme de l’enseignement secondaire.

Enfin, il y a la qualité du français dans toutes les matières. Le corps enseignant devra ici être solidaire. Le fait est que l’enseignant de chimie d’aujourd’hui ne corrige pas les fautes de français dans les rapports de ses élèves. Selon madame Bourgeois, c’est là que le bât blesse : « On a conservé une rigueur à propos du français, mais pas dans l’ensemble des matières. Que fait-on de la rigueur linguistique, lexicale et l’exactitude des termes dans les textes d’histoire, par exemple ? »

Oui, la rigueur et l’effort soutenu s’imposent dans l’apprentissage de la langue française, mais ces qualités ne font pas partie des habitudes de travail de l’élève contemporain. À son entrée au cégep, il a un choc : « Au secondaire, on pouvait étudier juste une journée, dit Émilie à La Presse qui l’a suivie, l’automne dernier. Mais, là, on a tellement de choses à apprendre par cœur qu’il faut étaler l’étude sur plusieurs jours[IX]. »

Que pense la Fédération étudiante collégiale (FEC) des étudiants de la réforme ? Elle est consciente qu’ils s’intègrent avec difficulté. De fait, le nombre de jeunes aux prises avec des troubles d’apprentissage ne cesse de grimper. « Il est passé de 426 à 1 071 en deux ans[X] », d’après la fédération.

Sur un ton plus alarmiste, la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse estime que « le nombre de jeunes aux prises avec un trouble d’apprentissage a quintuplé en quatre ans, variant de 860 à 4 309 étudiants[XI] ».

Si l’on ne s’entend pas sur les chiffres, l’on s’entend pour dire que le problème est inquiétant. En 2008, la ministre Michelle Courchesne a tenté de redresser la barre, en rétablissant le redou- blement et les pourcentages dans les bulletins. Elle a même sorti la dictée des « boules à mites ». Mais cela n’a pas suffi, car la situation a continué à se détériorer. De fait, à la mi-février 2011, la ministre Courchesne a révélé que pratiquement le tiers des étudiants avaient échoué à l’épreuve uniforme de français, à l’automne 2010. L’incompétence linguistique des jeunes semble évidente. Dans le rapport du MELS, on rapporte que « 17,6 % des étudiants ayant subi l’épreuve uniforme de français, en mai 2010, ont démontré une maîtrise “insuffisante”, “très faible” ou même “nulle” de l’orthographe et de la syntaxe, comparativement à 25,9 %, en août de cette même année »[XII].

Le portrait de la situation est assez sombre. Malgré cela, il y a de l’espoir. Au collège Gérald-Godin, on pratique des règles que l’on retrouve dans l’abécédaire de madame Bourgeois. Psychologue au collège, Diane D’Astout enseigne les rudiments de la motivation aux moniteurs qui travaillent au CAF : « Un étudiant en contrôle de son apprentissage “égale” un étudiant res- ponsable de ce qui lui arrive “égale” un étudiant qui performe. » C’est dans ce contexte que le moniteur révise les notions de base avec l’étudiant. Il lui apprend, en fait, à maîtriser sa matière.

Aussi, au fil de ses visites au Centre, l’étudiant regagne de la confiance. Le moniteur l’accom-pagne durant toute la session, au cours de laquelle il note son assiduité dans un cahier de travail. De plus, il produit deux rapports qu’il remet aux enseignants de littérature. L’étudiant a peu de marge de manœuvre à propos des séances manquées : après deux absences, on lui enlève le privilège de l’aide au CAF. En somme, le collège insuffle de la rigueur dans toutes les étapes de l’aide qu’il prodigue à l’étudiant.

Une langue, une nation

Tout compte fait, la question de la démotivation chez les jeunes va bien au-delà de la langue. L’on devrait plutôt parler de volonté collective, celle du peuple québécois. Celui-ci semble avoir oublié l’importance du rôle que joue la culture dans la société. C’est ce que pense madame Bourgeois : « L’éducation et l’instruction sont les pierres angulaires d’une nation. S’ils veulent conserver leurs richesses et protéger leur langue, les Québécois devront retrouver leur fierté. »

Yannic, lui, a retrouvé la sienne. Il a adopté des comportements positifs. Cela l’a mené à prendre des décisions éclairées. Il a suivi des cours de français en privé l’hiver dernier et prévoit les poursuivre jusqu’à ce qu’il maîtrise les notions élémentaires de la grammaire. Il a de plus entrepris une démarche pour régler un trouble d’apprentissage. Mais il sait que la partie se jouera à son retour au cégep l’automne prochain. Et il compte bien la jouer avec intégrité.




[I] DION-VIENS, Daphnée, « Les cégépiens traînent la patte en français » [En ligne], http://www.cyberpresse.ca/actualites/ quebec-canada/education/200909/21/01-903826-tes

[II] MALBOEUF, Marie-Claude, « Dehors, mon enfant ! », La Presse (25 septembre 2010), p. A2.


[III] QUÉBEC, LOI DE LA PROTECTION DE LA JEUNESSE, « Interprétation et application » [En ligne], http://www. cdpdj.qc.ca/fr/commun/docs/LPJ.pdf


[IV] QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT.  « L’intégration des nouveaux enseignants : une approche pour favoriser l’insertion et encadrer l’enseignant » [En ligne], http://www.mels.gouc.qc.ca/sections/ vie. pédagogique/152/index.asp?page=horsDos_3

[V] OUIMET, Michelle, « Heureux mais ignorants », La Presse (6 septembre 2008), p. A7.


[VI] LAROSE, Simon, « Quelques indicateurs du profil sociomotivationnel des élèves » [En ligne], http://www.fse.ulaval.ca/
simon.larose/rech/index.php


[VII] QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT, « L’obtention d’un diplôme du secondaire » [En ligne], http://www.mels.gouv.qc.ca/ sections/ publications/ publications/Ens-Sup/Affaires-universitaires_c


[VIII]  ZIARKO, Hélène, et LÉPINE, François, « La maîtrise de la langue : une complainte ou un tube pour les facultés des sciences  de l’éducation » [En ligne], http://id.erudit.org/iderudit/50248ac

[IX]  LACOURSIÈRE, Ariane,  « Mi-trimestre au cégep : nostalgie et étude au menu », La Presse (16 octobre 2010), p. A5.

[X] DION-VIENS, Daphnée, « Troubles d’apprentissages : une urgence, dit la Fédération des cégeps  [En ligne], http: //www.cyberpresse.ca/le_Soleil/actualités/education/201008/25/01-430920-troubles

[XI] DION-VIENS, Daphnée, « Troubles d’apprentissages : une urgence, dit la Fédération des cégeps » [En ligne], http: //www.cyberpresse.ca/le_Soleil/actualités/education/201008/25/01-430920-troubles

[XII] QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT, « Résultats aux épreuves de langue d’enseignement et littérature » [En ligne], http://www.mels.gouv.qc.ca/ stat/ indic.06/ docum06/Indic06_472829.pdf


BIBLIOGRAPHIE

Sites internet

DION-VIENS, Daphnée. Troubles d’apprentissages : une urgence, dit la Fédération des cégeps [En ligne], http://www.cyberpresse.ca/le_Soleil/actualités/education/201008/25/01430920-trou- bles (Page consultée le 21 février 2011)

DION-VIENS, Daphnée. Les cégépiens traînent la patte en français [En ligne], http://www. cyberpresse.ca/actualites/ quebec-canada/education/200909/21/01-903826-tes (Page consultée le 19 février 2011)

LAROSE, Simon. Quelques indicateurs du profil sociomotivationnel des élèves [En ligne], http: //www.fse.ulaval.ca/simon.larose/rech/index.php (Page consultée le 22 avril 2011)

QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT. L’intégration des nouveaux enseignants : une approche pour favoriser l’insertion et encadrer l’enseignant [En ligne], http://www.mels.gouc.qc.ca/sections/vie.pédagogique/152/index.asp?page=horsDos_3
(Page consultée le 04 mars 2011)

QUÉBEC, LOI SUR LA PROTECTION DE LA JEUNESSE. Interprétation et application [En ligne], http://www.cdpdj.qc.ca/fr/commun/docs/LPJ.pdf (Page consultée le 10 mars 2011)

QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT. L’obtention d’un diplôme du secondaire [En ligne], http://www.mels.gouv.qc.ca/sections/publications/publications/Ens
Sup/Affaires-universitaires_c (Page consultée le 03 mars 2011)

QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT. Résultats aux épreuves de langue d’enseignement et littérature [En ligne], http://www.mels.gouv.qc.ca/ stat/ indic.06/ docum06/Indic06_472829.pdf (Page consultée le 10 février 2011)

QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT.  Recruter, sélectionner et affecter les enseignants  [En ligne], http://www.mels.gouv.qc.ca/dft/psrinterieur/ pdf/attirer_f.pdf (Page consultée le 12 février 2011)

ZIARKO, Hélène, et François, LÉPINE. La maîtrise de la langue : une complainte ou un tube pour les facultés des sciences de l’éducation En ligne], http://id.erudit.org/iderudit/50248ac (Page consultée le 12 février 2011)


Articles de périodique

LACOURSIÈRE, Ariane « Mi-trimestre au cégep : nostalgie et étude au menu », La Presse (16 octobre 2010), p. A5.

MALBOEUF, Marie-Claude. « Dehors, mon enfant ! », La Presse (25 septembre 2010), p. A2.

OUIMET, Michelle. « Heureux mais ignorants », La Presse (6 septembre 2008), p. A7.


Entrevues

ROSSIGNOL, Manon Éléonor. Entrevue avec Madame Diane Bourgeois, députée du Parti Québécois, Terrebonne, le 28 janvier 2011.

ROSSIGNOL, Manon Éléonor. Entrevue téléphonique avec Madame Diane D’Astout, psychologue et orthopédagogue, le 28 février 2011.

ROSSIGNOL, Manon Éléonor. Entrevue téléphonique avec Monsieur Frédéric D’Anjou, professeur de littérature au cégep Gérald-Godin, le 28 février et le 22 avril 2011.

ROSSIGNOL, Manon Éléonor. Entrevue téléphonique avec Monsieur Simon Larose, enseignant et directeur de l’évaluation du renouveau à l’enseignement secondaire, le 22 avril 2011.