Ça y est ! Les finissants du
secondaire reçoivent leur réponse sur leur demande d’admission au cégep. Ceux
qui sont admis poussent des soupirs de soulagement. Parmi eux, il y a l’apprenant
TDA(H) qui a su se tracer un chemin à travers les broussailles jusqu’à la ligne
d’arrivée.
On se l’imagine facilement, le
jeune adulte TDA(H), finissant du secondaire, tel un petit cervidé au pelage
brun tacheté de blanc qui paître dans les prés en toute quiétude. « Il l’a
bien mérité, après tout ! » vous dites-vous, en pensant à l’été qui s’en
vient. « Il a travaillé d’arrache-pied pendant tout son primaire et son
secondaire. Il peut bien se reposer cet été. »
Eh bien, j’ai de petites nouvelles
pour vous, chers parents : il serait préférable que votre daim se
transforme vite en soldat, car il fera bientôt partie d’un contingent, et
il lui reste très peu de temps pour se préparer à la marche forcée dans
laquelle il est sur le point de s’engager : le cégep, c’est dur. Le cégep, c’est
comme l’armée. Il n’y a pas de demi-mesure. Donc, si votre jeune n’a pas appris
à suivre le rythme, il va très vite se détacher du peloton.
En d’autres termes, votre jeune adulte
doit désormais maîtriser ses compétences en français et être fin prêt à s’en
servir, puisqu’il n’est plus question de grammaire, de savoir-lire ou d’autocorrection,
au cégep. Non. Tout cela doit à présent faire partie de ses acquis. C’est ce qu’on
s’attend de lui dès qu’il met les pieds au cégep.
Je vous entends penser d’ici :
« Non mais… elle est décourageante ! Je ne vais plus la suivre dans son blog.
Je ne veux plus rien savoir d’elle. Ce qu’elle peut être pessimiste. » Allez-y,
autant que vous voulez. Expiez-moi tant
qu’à faire. Je m’en fous.
Mais, avant que vous m’arrachiez
la tête ou les bras, lisez ce qui suit. Il s’agit d’un article que j’ai écrit en
2013 et qui est le résumé, en fait, d’une enquête que j’ai menée pendant trois
ans sur nos jeunes, notamment sur leur motivation sur leurs apprentissages du
français.
En terminant, je vous rassure :
je suis déjà en train vous écrire la suite de cet article-ci qui, en réalité, s’adresse
à votre jeune sur ce qu’il devrait faire au cours de l’été prochain pour bien
se préparer à son entrée au cégep : BROUTER
DANS LES PRÉS OU SE PRÉPARER POUR « L’ARMÉE » !
En attendant, je vous souhaite bonne lecture !
Le français démotive les étudiants
Le
ministère de l’Éducation s’en lave les mains ; les enseignants tombent
comme des mouches; les parents prennent la clé des champs. À qui la faute ?
« Ça vous fait vingt dollars », me
lance une voix caverneuse. Là, derrière le comptoir-caisse de la
station-service, un jeune homme, le teint blanc comme de l’albâtre, me regarde
avec con-sidération. Il attend que je lui paie mon dû. Je l’ignore alors, mais
nos destins viennent de se croiser.
Son
nom est Yannic, le mien, Nanny Mc Phee. La Nanny Mc Phee des tutrices de français. Un drôle
de sobriquet, je l’avoue, mais c’est justement ce pseudonyme qui intrigue
Yannic. Aussi, au cours de mes visites éclair à la station, il me raconte son
histoire. Il a redoublé son premier cours de littérature, et ça l’a tellement démotivé
qu’il a abandonné ses études collégiales.
On
pourrait penser que Yannic est un cas isolé, mais Frédéric d’Anjou ne le croit
pas. Selon ce professeur de littérature, qui enseigne au cégep Gérald-Godin, des
centaines de cégépiens maîtrisent mal, comme Yannic, les règles de grammaire
élémentaires. L’automne dernier, ce fut l’hécatombe dans sa classe :
« 70 % de mes étudiants ont échoué à leur premier cours de
littérature. De plus, le Centre d’aide en français (CAF) ne suffit plus à la
demande. »
Au
ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS), on rapporte que « 9
502 collégiens se sont inscrits à un cours de rattrapage en français en
2001-2002 ; ce nombre a grimpé à 13 964 étudiants en 2009-2010[i] ».
Solidaire
de ses pairs, Yannic lance haut et fort : « La langue française nous
donne du fil à re-tordre et nous démotive. »
“ Douze fautes par
phrase, Monsieur ”
Mais
comment se fait-il que nos jeunes soient si incompétents, et leur motivation, si
« fragile » ? Diane Bourgeois connaît les réponses. Selon elle,
le problème ne date pas d’hier. Députée du Parti québécois, madame Bourgeois a
été enseignante au début de sa carrière. C’était une en-seignante engagée et
qui n’avait pas peur des mots. Je la rencontre à son bureau à Terrebonne.
« Vous
savez, la note, c’est très relatif », me lance-t-elle, d’entrée de jeu. « La
direction de l’école où j’enseignais a exigé qu’on fasse passer de 57 % à
70 % la moyenne des groupes. » Madame Bourgeois et ses collègues ont
d’abord refusé de se conformer à cette directive. Le directeur les a alors
placés devant un choix : « Ou bien on se pliait à sa demande ou bien
on allait devoir apprendre aux jeunes à écrire correctement. L’enjeu ici est
une question de perception : là où les jeunes échouent, il y a des
professeurs incompétents. »
Se
souciant peu du qu’en dira-t-on, madame Bourgeois et une collègue ont choisi d’apprendre
aux jeunes à écrire. Ce que la direction n’a pas apprécié, pas plus que les
parents. « Alors qu’un parent me lançait des bêtises à la figure, je cherchais,
dans ma pile de copies, la composition écrite de son enfant […]. Le parent a
figé net lorsque je la lui ai mise sous les yeux. “ Douze fautes par
phrase, Monsieur ”, lui ai-je alors lancé. »
Avant
de pester contre l’enseignant, le parent ne devrait-il pas discuter avec son
enfant ? C’est justement là le problème. À notre époque, le parent vit à
cent milles à l’heure et il n’a pas le temps de discuter avec sa « progéniture ».
En fait, il n’a même pas le temps d’être présent. À la Direction de la protection
de la jeunesse de Montréal (DPJ), on est au fait de cette réalité : « Des
enfants
nous disent : “ Je veux bien rentrer à 21 h, mais, quand
j’arrive, j’ai un message de mon
père
qui me dit qu’il reste à coucher chez sa blonde”, déclare Sylvie Piché,
intervenante à la DPJ. Les parents sont partout, sauf à la maison[ii]. »
La
loi est pourtant claire : « La responsabilité d’assumer […]
l’éducation de l’enfant et d’en assurer la surveillance […] incombe à ses
parents en premier lieu[iii]. »
Si les parents prennent la clé des champs, une personne responsable doit
compenser pour leur absence. Selon madame Bourgeois, c’est l’enseignant qui
assume cette charge. En plus d’enseigner sa matière, celui-ci encadre l’enfant,
l’encourage et l’épaule, une charge de travail trop lourde, qu’il ne peut tenir
bien longtemps, car, très vite, il s’épuise. De fait, les professeurs tombent
comme des mouches : « 15 % à 20 % des jeunes enseignants quittent
la profession au cours des cinq premières années suivant leur entrée sur le
marché du travail[iv]. »
« On
a enlevé le sens premier, la raison d’être de l’école, celui d’instruire le jeune
pour qu’il puisse bien fonctionner plus tard, affirme madame Bourgeois. C’est
aux parents d’éduquer l’enfant », ajoute-t-elle, inquiète pour la profession et
pour la relève.
La
députée est aussi d’avis que l’enseignant contemporain couvre mal ses
arrières : « À notre époque, l’enseignant veut se faire aimer de ses
élèves. Et il le fait parce qu’il veut éviter qu’on l’associe à la rigueur. Alors,
il met de côté son autorité. » Le jeune s’adapte en conséquence : il devient
familier avec l’enseignant, le critique et se dresse contre lui s’il le punit. En
fin de compte, le jeune manque d’assiduité dans la réalisation de ses devoirs
et est moins attentif au cours. Bref, il ne se sent pas responsable de sa
réussite scolaire.
Il
faut dire que l’élève d’aujourd’hui est un adepte de la loi du moindre effort. En
fait, l’effort n’a pas la cote dans le monde des jeunes. Madame Bourgeois a sa
théorie sur le sujet. Elle fait remarquer que les enseignants et les parents
encensent les enfants sous prétexte qu’ils ne veulent pas les démoraliser et
les empêcher de progresser : « On souligne “le petit peu d’effort” du
jeune. Alors, celui-ci croit qu’il doit faire un minimum d’effort pour réussir
ses études. Doit-on s’étonner qu’il ne maîtrise pas la matière ? » Doit-on
aussi s’étonner que le jeune baisse les bras dès qu’il rencontre des
difficultés dans la compréhension d’une notion ? À notre époque, l’on ne
doit même pas s’étonner qu’il pense arrêter ses études s’il échoue à son année
scolaire.
La
députée croit qu’« un enfant qui redouble son année scolaire se prépare à
la réalité de la vie ». Mais le parent voit la chose autrement. Il veut éviter
à son enfant de la souffrance. Alors, il remue ciel et terre pour lui éviter de
redoubler. Le ministère de l’Éducation a cru lui aussi que le redoublement nuirait
au développement de l’enfant. Dans les années 2000, il a amendé la réforme de
1980. Dès lors, le redoublement au secondaire a été proscrit, une mesure qui a
fait couler beaucoup d’encre. Or, la ministre Michelle Courchesne a mis fin à
cette mesure en 2008. Elle a aussi fait le constat de l’échec du renouveau
pédagogique : « Oui, admet-elle, les connaissances ont été éparpillées
dans un océan de compétences transversales et disciplinaires[v]. »
En
mars 2011, Simon Larose conforte les affirmations de la ministre. Professeur à
l’Université Laval et directeur de l’évaluation du renouveau à l’enseignement
secondaire, monsieur Larose a découvert que les élèves du renouveau pédagogique
échouent davantage que leurs prédé- cesseurs. L’on parle de « 5,5 %
de plus[vi] »
que les cohortes précédentes.
Une partie truquée
Des
milliers d’étudiants paient le prix aujourd’hui de cette réforme. C’est le cas
de notre ami Yannic. Juste à l’idée qu’il doit réviser les notions de base, il
se sent dépassé. Or, il sait qu’il n’existe aucun moyen d’éviter cette étape,
aucun raccourci s’il veut obtenir son diplôme collégial. Alors, comme il a
redoublé le premier des trois cours de littérature, la barre lui paraît haute.
Mais
le sentiment d’impuissance et de frustration que vit Yannic n’explique pas
tout. Le jeune homme vit l’échec comme une fatalité. En fait, il ne parvient pas
à en tirer parti, à le voir comme une expérience qui le prépare à la réalité de
la vie. Et puis, son estime personnelle est touchée. Alors, il joue une partie
truquée d’avance : dans l’éventualité où la langue française le mettrait à
nouveau en échec, il déclarerait forfait en décrochant. Ensuite, il jouerait
une partie plus facile, le diplôme d’études professionnelles (DEP).
L’on
peut facilement appréhender le pire pour Yannic, qui fait partie du groupe de
personnes qui risquent de décrocher. Dans le rapport 2004-2005 du MELS, on
rapporte que seulement « 63,6 % des garçons obtiennent leur diplôme
du secondaire, alors que 77,1 % des filles y parviennent[vii] ».
À
ce sujet, madame Bourgeois affirme que le gouvernement travaille en ce moment sur
un projet de loi : « Le Conseil du patronat du Québec se demande s’il
n’y aurait pas lieu d’exiger du gouvernement qu’il établisse une loi empêchant
les entreprises d’embaucher les étudiants de 16 ans et moins. Le recrutement
des jeunes encourage la problématique de la main-d’œuvre bon marché. Il contribue,
de plus, au phénomène de décrochage scolaire. Il y a aussi les coûts : les
jeunes “raccrocheurs” coûtent cher à l’État. »
L’abécédaire de la
motivation
Si
l’on trouvait des solutions à leur démotivation, moins de jeunes
abandonneraient leurs études.
Madame
Bourgeois me parle de solutions qu’elle me présente sous la forme d’un abécédaire,
avec la rigueur comme toile de fond.
Il
y a d’abord la valorisation de la profession d’enseignant, valorisation qui
doit s’amorcer auprès de la société. Pour cela, les enseignants doivent être
compétents. L’enjeu ici est capital : « Tu ne peux donner ce que tu n’as
pas eu », lance madame Bourgeois, en parlant des ensei-gnants
contemporains. Et d’ajouter : « Je parle du laxisme de ceux qui
devaient les évaluer. »
Et
elle n’a pas tout faux. Selon François Lépine, coordonnateur du Centre de
développement des compétences langagières de l’Université Laval, « moins
du quart des futurs enseignants obtien-nent un résultat supérieur à 75 % [viii] »
au Test de certification en français écrit pour l’enseigne- ment.
Il
y a ensuite les parents. L’enfant doit être suffisamment encadré. La base,
c’est l’élémentaire : la présence et l’intérêt de la mère et du père sont
nécessaires. À ce sujet, madame Bourgeois précise que les parents jouent un
rôle déterminant dans la perception que l’enfant a du maître : « Les
parents doivent faire valoir l’autorité du maître auprès de son enfant. Ils
doivent lui faire comprendre que les notions qu’on lui enseigne à l’école sont
les outils dont il aura besoin pour améliorer ses conditions de vie. »
Il
y a, de plus, la formation des élèves au niveau secondaire. Pour mieux préparer
les jeunes aux études collégiales, les experts du MELS doivent inclure des
notions de littérature, très tôt au secondaire. Les courants littéraires et les
procédés d’écriture doivent donc être au programme de l’enseignement
secondaire.
Enfin,
il y a la qualité du français dans toutes les matières. Le corps enseignant
devra ici être solidaire. Le fait est que l’enseignant de chimie d’aujourd’hui ne
corrige pas les fautes de français dans les rapports de ses élèves. Selon madame
Bourgeois, c’est là que le bât blesse : « On a conservé une rigueur à
propos du français, mais pas dans l’ensemble des matières. Que fait-on de la
rigueur linguistique, lexicale et l’exactitude des termes dans les textes d’histoire,
par exemple ? »
Oui,
la rigueur et l’effort soutenu s’imposent dans l’apprentissage de la langue
française, mais ces qualités ne font pas partie des habitudes de travail de l’élève
contemporain. À son entrée au cégep, il a un choc : « Au secondaire,
on pouvait étudier juste une journée, dit Émilie à La Presse qui l’a suivie, l’automne dernier. Mais, là, on a
tellement de choses à apprendre par cœur qu’il faut étaler l’étude sur
plusieurs jours[ix]. »
Que
pense la Fédération
étudiante collégiale (FEC) des étudiants de la réforme ? Elle est
consciente qu’ils s’intègrent avec difficulté. De fait, le nombre de jeunes aux
prises avec des troubles d’apprentissage ne cesse de grimper. « Il est
passé de 426 à 1 071 en deux ans[x] »,
d’après la fédération.
Sur
un ton plus alarmiste, la Commission
des droits de la personne et des droits de la jeunesse estime que « le
nombre de jeunes aux prises avec un trouble d’apprentissage a quintuplé en
quatre ans, variant de 860 à 4 309 étudiants[xi] ».
Si
l’on ne s’entend pas sur les chiffres, l’on s’entend pour dire que le problème
est inquiétant. En 2008, la ministre Michelle Courchesne a tenté de redresser
la barre, en rétablissant le redou- blement et les pourcentages dans les
bulletins. Elle a même sorti la dictée des « boules à mites ». Mais
cela n’a pas suffi, car la situation a continué à se détériorer. De fait, à la
mi-février 2011, la ministre Courchesne a révélé que pratiquement le tiers des
étudiants avaient échoué à l’épreuve uniforme de français, à l’automne 2010. L’incompétence
linguistique des jeunes semble évidente. Dans le rapport du MELS, on rapporte
que « 17,6 % des étudiants ayant subi l’épreuve uniforme de français, en
mai 2010, ont démontré une maîtrise “insuffisante”, “très faible” ou même
“nulle” de l’orthographe et de la syntaxe, comparativement à 25,9 %, en août de
cette même année »[xii].
Le
portrait de la situation est assez sombre. Malgré cela, il y a de l’espoir. Au collège
Gérald-Godin, on pratique des règles que l’on retrouve dans l’abécédaire de
madame Bourgeois. Psychologue au collège, Diane D’Astout enseigne les rudiments
de la motivation aux moniteurs qui travaillent au CAF : « Un étudiant
en contrôle de son apprentissage “égale” un étudiant res- ponsable de ce qui
lui arrive “égale” un étudiant qui performe. » C’est dans ce contexte que
le moniteur révise les notions de base avec l’étudiant. Il lui apprend, en
fait, à maîtriser sa matière.
Aussi,
au fil de ses visites au Centre, l’étudiant regagne de la confiance. Le
moniteur l’accom-pagne durant toute la session, au cours de laquelle il note
son assiduité dans un cahier de travail. De plus, il produit deux rapports
qu’il remet aux enseignants de littérature. L’étudiant a peu de marge de
manœuvre à propos des séances manquées : après deux absences, on lui
enlève le privilège de l’aide au CAF. En somme, le collège insuffle de la
rigueur dans toutes les étapes de l’aide qu’il prodigue à l’étudiant.
Une langue, une nation
Tout
compte fait, la question de la démotivation chez les jeunes va bien au-delà de
la langue. L’on devrait plutôt parler de volonté collective, celle du peuple
québécois. Celui-ci semble avoir oublié l’importance du rôle que joue la
culture dans la société. C’est ce que pense madame Bourgeois :
« L’éducation et l’instruction sont les pierres angulaires d’une nation. S’ils
veulent conserver leurs richesses et protéger leur langue, les Québécois
devront retrouver leur fierté. »
Yannic,
lui, a retrouvé la sienne. Il a adopté des comportements positifs. Cela l’a
mené à prendre des décisions éclairées. Il a suivi des cours de français en
privé l’hiver dernier et prévoit les poursuivre jusqu’à ce qu’il maîtrise les
notions élémentaires de la grammaire. Il a de plus entrepris une démarche pour
régler un trouble d’apprentissage. Mais il sait que la partie se jouera à son
retour au cégep l’automne prochain. Et il compte bien la jouer avec intégrité.
[i] DION-VIENS, Daphnée,
« Les cégépiens traînent la patte en français » [En ligne], http://www.cyberpresse.ca/actualites/
quebec-canada/education/200909/21/01-903826-tes
[ii] MALBOEUF, Marie-Claude,
« Dehors, mon enfant ! »,
La Presse (25 septembre 2010), p. A2.
[iii] QUÉBEC, LOI DE LA
PROTECTION DE LA JEUNESSE, « Interprétation et application » [En ligne], http://www. cdpdj.qc.ca/fr/commun/docs/LPJ.pdf
[iv] QUÉBEC, MINISTÈRE
DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT. « L’intégration
des nouveaux enseignants : une approche pour favoriser l’insertion et
encadrer l’enseignant » [En
ligne], http://www.mels.gouc.qc.ca/sections/ vie. pédagogique/152/index.asp?page=horsDos_3
[v] OUIMET, Michelle, « Heureux
mais ignorants », La Presse (6 septembre
2008), p. A7.
[vi] LAROSE, Simon, « Quelques
indicateurs du profil sociomotivationnel des élèves » [En ligne],
http://www.fse.ulaval.ca/
simon.larose/rech/index.php
[vii] QUÉBEC, MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DU
LOISIR ET DU SPORT, « L’obtention d’un diplôme du secondaire » [En
ligne], http://www.mels.gouv.qc.ca/ sections/ publications/ publications/Ens-Sup/Affaires-universitaires_c
[viii] ZIARKO, Hélène, et LÉPINE, François,
« La maîtrise de la langue : une complainte ou un tube pour les
facultés des sciences de
l’éducation » [En ligne], http://id.erudit.org/iderudit/50248ac
[ix] LACOURSIÈRE, Ariane,
« Mi-trimestre au cégep : nostalgie et étude au menu », La Presse (16 octobre 2010), p. A5.
[x] DION-VIENS, Daphnée, « Troubles
d’apprentissages : une urgence, dit la Fédération des
cégeps [En ligne], http: //www.cyberpresse.ca/le_Soleil/actualités/education/201008/25/01-430920-troubles
[xi] DION-VIENS, Daphnée, « Troubles
d’apprentissages : une urgence, dit la Fédération des
cégeps » [En ligne], http: //www.cyberpresse.ca/le_Soleil/actualités/education/201008/25/01-430920-troubles
[xii] QUÉBEC, MINISTÈRE
DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT, « Résultats aux épreuves de langue
d’enseignement et littérature » [En
ligne], http://www.mels.gouv.qc.ca/ stat/ indic.06/ docum06/Indic06_472829.pdf
BIBLIOGRAPHIE
Sites
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Daphnée. Troubles d’apprentissages :
une urgence, dit la
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DION-VIENS,
Daphnée. Les cégépiens traînent la patte
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LAROSE,
Simon. Quelques indicateurs du profil
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QUÉBEC,
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ligne], http://www.mels.gouv.qc.ca/ stat/ indic.06/ docum06/Indic06_472829.pdf (Page
consultée le 10 février 2011)
QUÉBEC,
MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION, DU LOISIR ET DU SPORT. Recruter, sélectionner et affecter les enseignants [En
ligne], http://www.mels.gouv.qc.ca/dft/psrinterieur/ pdf/attirer_f.pdf (Page
consultée le 12 février 2011)
ZIARKO,
Hélène, et François, LÉPINE. La
maîtrise de la langue : une complainte ou un tube pour les facultés des
sciences de l’éducation En ligne], http://id.erudit.org/iderudit/50248ac
(Page consultée le 12 février 2011)
Articles de
périodique
LACOURSIÈRE,
Ariane « Mi-trimestre au cégep : nostalgie et étude au menu », La Presse (16 octobre 2010), p. A5.
MALBOEUF,
Marie-Claude. « Dehors, mon enfant ! », La Presse
(25 septembre 2010), p. A2.
OUIMET,
Michelle. « Heureux mais ignorants », La Presse
(6 septembre 2008), p. A7.
Entrevues
ROSSIGNOL,
Manon Éléonor. Entrevue avec Madame Diane
Bourgeois, députée du Parti Québécois, Terrebonne, le 28 janvier 2011.
ROSSIGNOL,
Manon Éléonor. Entrevue téléphonique avec
Madame Diane D’Astout, psychologue et orthopédagogue, le 28 février 2011.
ROSSIGNOL,
Manon Éléonor. Entrevue téléphonique avec
Monsieur Frédéric D’Anjou, professeur de littérature au cégep Gérald-Godin,
le 28 février et le 22 avril 2011.
ROSSIGNOL,
Manon Éléonor. Entrevue téléphonique avec
Monsieur Simon Larose, enseignant et directeur de l’évaluation du renouveau à
l’enseignement secondaire, le 22
avril 2011.